Anti-capitalism / Anticapitalisme
Après plus d'une décennie de lutte, des personnes arrêté·e·s lors de 16 manifestations qui se sont soldées par des arrestations de masses entre 2011 et 2015 ont finalement obtenu gain de cause face à la ville de Montréal et au SPVM en signant une entente hors-court pour obtenir dédommagement pour les tords subis.
Rejoignez-nous dans le CONTINGENT ANTICAPITALISTE à 17h30 au Métro Verdun (coin Willibrord et Verdun) et pour la MANIFESTATION ANTICAPITALISTE à 19h au Parc Madeleine Parent (Métro Charlevoix).
Quelques semaines après la fin de la mobilisation contre la COP15, la coalition écologiste et anticapitaliste contre la COP15 vous invite à une assemblée populaire écologiste et anticapitaliste le dimanche 5 mars prochain à midi. Cette assemblée publique permettra de discuter de l’avenir de cette coalition ainsi que des prochaines mobilisations anticapitalistes et écologistes, parce que la lutte continue!
À l'assaut du palais
Manifestation mercredi 7 décembre au matin! 3 départs:
La prochaine assemblée d'organisation a lieu le 9 octobre à midi au A-M050 à l'UQAM, venez en grand nombre!
Pour toute question, contactez le fucklacop15@riseup.net !
PS : D'ici la prochaine assemblée d'organisation, on se voit dans la rue le 23 septembre à 13h au coin Duluth/Parc pour le contingent anticapitaliste de la manif pour la justice climatique!
Une journal sur la crise climatique actuelle et les réponse à y donner. En pdf
Coup de hache: porter un coup à l’aide d’une hache. Historiquement le coup de hache a été la première étape de la colonisation. Présentement des méthodes d’abattage plus sophistiquées renvoient le coup de hache à la résistance. Ex: «Crisser un coup de hache dans la machine capitaliste de destruction de la nature!»
Les ateliers se tiendront un samedi sur deux, a partir de la mi-juillet, à 19h dans la cour du DIRA (2035 Saint-Laurent):
17 juillet : Historique du rôle des infrastructures de transport et de communication dans le projet capitaliste colonial québécois
31 juillet : Réaménagement du territoire en cours et à venir : la stratégie maritime du Québec
14 aout : Résistances à la réorganisation urbaine, stratégies et pratiques
La police opère avec de nombreux biais, et la répression politique représente l'un d'entre eux. Il se manifeste par la manière disproportionnée dont la police s’attaque aux mouvement sociaux progressistes par le niveau de violence utilisé, l'effectif déployé, la surveillance, ou l'ampleur des charges, par exemple. Cette situation est rendue bien visible au Québec par le livre tiré de la Commission Populaire sur la Répression Politique (CPRP), paru en 2016 et qui avait pour titre "Étouffer la dissidence". Nous interrogeons dans cet épisode une personne qui a participé à son écriture.
- 1er mai 2021 : Nous ne voulons pas de ce monde qu’ils essaient de nous vendre !
- Rendez-vous à 16h au parc Jarry, coin Gary-Carter et St-Laurent.
La pandémie que nous traversons nous précarise tou·te·s et met en évidence des injustices graves. La relance souhaitée par les dirigeant.e.s est une relance qui ne s’adresse pas à nous. Elle ne s’adresse pas aux artistes et autres personnes qui ne génèrent pas assez de profit pour mériter d’exister. Elle ne s’adresse pas aux les travailleur.euses du sexe, dont l’existence même est criminalisée. Cette relance ignore les personnes en situation de handicap, les marginalisé·e·s, celleux avec des problèmes de santé mentale. La relance dont ils parlent, elle est pour les pétrolières, pour les Bombardiers, pour les tizami·e·s comme Guzzo, mais elle n’est pas pour nous. Laisser les gouvernements nous sauver de la crise qu’ils ont eux et elles même créées à travers les coupures en santé, à travers leurs vies de « snowbirds », serait accepter la mort. Ce que nous devons relancer, ce n’est pas l’économie, mais les luttes pour nos droits et la fin de l’exploitation capitaliste.
Le 1er mai dernier, comme chaque année depuis plus d'un siècle, c'était la Journée internationale des travailleuses et travailleurs. Malgré le confinement, plusieurs personnes ont pris action pour redécorer la ville. La situation peut sembler sombre, mais il y a quand même quelques points positifs malgré tout.
L'air de nos villes est plus pur qu'il ne l'a été depuis au moins un siècle. La consommation pétrolière ralentit en même temps que la production de gaz à effet de serre. Pour beaucoup de gens, le confinement forcé est un moment de revoir notre relation malsaine avec le travail dans cette société capitaliste hyperperformante et hyperproductive.
En cette période de pandémie, le capital tue plus que jamais. Les travailleur-euse-s sont laissé-e-s sans équipement dans les hôpitaux. Le confinement s’abat sur la population parce que les gouvernements ont fait trop peu trop tard. Les riches propriétaires qui ont ramené le virus avec elleux s'insurgent d'une grève des loyers que leurs locataires n'ont pas le choix de faire, faute d'argent. Les personnes qui vont mourir sont les plus vulnérables, des commis dans les épiceries aux livreur-euse de nourriture, en passant par les prisonnier-ère-s, les sans-abris et les sans papiers, pendant que les plus à l’aise travaillent de la maison. Malgré tout, la distanciation sociale reste une manière importante de réduire le nombre de personnes infectées, et c’est pourquoi NOUS NE NOUS RASSEMBLERONS PAS PHYSIQUEMENT POUR LA MANIFESTATION DU PREMIER MAI. Cependant, nous essaierons de rendre la résistance le plus visible possible, malgré le contexte difficile.
En raison de la situation actuelle, la journée d'ateliers "Écologie, anticapitalisme et résistance" qui était prévue le samedi 28 mars prochain au SCPA est reportée à une date ultérieure. La date sera annoncée lorsque nous saurons mieux ce que l'avenir nous réserve.
Un pamphlet de la CLAC, l'IWW et Montréal Antifasciste
La lutte contre les changements climatiques doit déborder de son lit. Elle doit aussi combattre le système de frontières qui valorise certaines vies plus que d'autres. Elle doit renverser le capitalisme qui cherche toujours à produire plus. Elle doit combattre la construction de la prison pour migrantEs à Laval dans laquelle des enfants grandissent derrière des barreaux. Elle doit se battre contre l'impérialisme qui permet que les pays du sud produisent pour une bouchée de pain les biens que nous consommons. Elle doit combattre la suprématie blanche, qu'elle prenne la forme de milices néo-fascistes, de chroniqueurs conservateurs ou de gouvernements coloniaux se déclarant souverains de territoires autochtones non-cédés. Elle doit combattre ceux et celles qui bénéficient de l'empoisonnement des terres et de l'exploitation de nos frères et sœurs.
- Aucune entrevue ne sera accordée aux médias d'information corporatistes.
- Spécial fuck you à Québecor Média et sa cohorte de tâcherons.
- Les autres peuvent joindre la CLAC à info@clac-montreal.net
Pourquoi nous avons marché encore?
Le 1er mai est né de luttes ouvrières menées par des immigrant-e-s. Elles ont eu lieu sur ce continent il y a plus de cent ans. Aujourd'hui, l'impérialisme capitaliste globalisé a créé des conditions qui forcent des millions de personnes à laisser leur maison pour trouver un refuge et tenter de survivre. Ces millions de personnes sont placées dans des situations d'extrême vulnérabilité, créant une population sans statut et exploitable. D'ailleurs, selon un article du Devoir publié aujourd'hui, le risque de subir des accidents de travail causant des blessures graves ou la mort est deux fois plus élevé pour les travailleuses et travailleurs étranger-ère-s.
Mais d’où vient donc cette manie syndicale d’organiser des manifestations sur tous les continents chaque 1er Mai ? Le beau temps, le muguet, l’envie de se dégourdir les jambes ? Rien de tout cela, même si ça peut aider ... En réalité, cette date est un symbole pour les organisations syndicales, celui de la commémoration de la lutte des travailleurs américains pour la journée de huit heures à la fin du XIXe siècle.
Les patrons ont toujours tort !
Lancement du moyen métrage de la CLAC
- Mercredi 16 janvier, 18h
- Station Ho.st
- 1494 Rue Ontario Est
La projection sera suivie d'un panel de discussion sur le thème du travail avec les personnes intervenantes suivantes :
- Camille Robert, militante féministe,
- Joëlle Dussault, militante du syndicat industriel des travailleuses et travailleurs (SITT-IWW),
- Mostafa Henaway, du centre des travailleur-euse-s immigrant-e-s (CTI).