Oyé oyé, La police nous fait chier, intimide et tue. Une camarade trans s’est fait arrêtée avec un feu d’artifice dans le cadre de la manifestation anticapitaliste du 1er mai 2021 et l’État confond visiblement un feu d’artifice avec une arme à feu, puisque celle-ci risque la prison. La judiciarisation de cette camarade est particulièrement inquiétante, elle risque de créer un dangereux précédent quant aux conséquences légales d’utiliser des feux d’artifice en manifestation.
Police, justice & Prisons / Prisons, justice et police
Both police and prisons are institutions set up to maintain a capitalist and racist social order. Whether it's the commission of inquiry into the SQ after the Oka crisis, or the one following the 2012 student strike, there are always recommendations to restructure organizations or re-evaluate the use of this or that type of weapon. While the list of victims of police services and prisons grows longer in Quebec and elsewhere, the idea of investigations and reforms is still being bandied about. Worse, some are calling for more training or technological gadgets like cameras, which would only increase police budgets. If the current American crisis has taught us anything, it's that cameras are useless: Ahmaud Arbery's death was filmed, but it was only when the public rose up against the police, prosecutors and judges who tried to sweep the case under the carpet that the murderers were arrested. George Floyd's death was filmed, but it was only after three days of protests that charges were laid, initially against just one of the police officers involved. The total impunity of the police and the massive injustice of the prison system will not be solved by yet another reform. This impunity must be addressed by abolishing these institutions.
The Legal Self-Defense Committee of the Anti-Capitalist Convergence (CLAC) is getting its Legal Self-Defense Fund back together. The fund aims to support people who are victims of police or legal repression for alleged acts committed in the context of individual or collective actions with an anti-capitalist, feminist, anti-colonial or anti-racist scope.
This episode addresses the question of transformative justice, its origins, and how it is currently applied in certain communities. It show us how we can take action in a constructive manner to make police obsolete here and now, and not just act toward police abolition. It helps see what a world without police and state justice system might look like.
Dans cet épisode, nous discutons avec une militante impliquée dans le Comité anti-détention de Solidarité Sans Frontières (SSF), un collectif basé à Tio'tia:ke/Montréal actif depuis 2003 dans le soutien des personnes migrantes et contre les injustices liés au système d'immigration. Le comité s'oppose particulièrement à la détention des personnes migrantes et supporte les personnes incarcérées et leurs luttes.
Season 2, episode 3: Policing in indigenous community - Interview with the Kanien’kéha language camp
In this third episode of season 2, we address the stakes surrounding the police in indigenous territories, whether led by Indigenous or settlers. We talk with one of the founders of the Kanien’kéha language camp in Akwesasne and the relationship between Indigenous communities and police forces.
Ce deuxième épisode de la seconde saison du Verger au complet porte sur le féminisme anticarcéral et prend la forme d'une entrevue avec Lux, qui est juriste et féministe antiraciste.
Saison 2, Épisode 1: La répression policière contre les travailleuses du sexe - Entrevue avec Stella
Pour ce premier épisode de la seconde saison du Verger au complet, on vous présente une entrevue avec Sandra Wesley, directrice générale de Stella, un organisme par et pour les travailleuses du sexe qui existe depuis plus de 25 ans et qui oeuvre à la défense des droits de ces travailleuses. Elle aborde notamment les relations entre la police et les travailleuses du sexe et les impacts des dernières lois sur leur travail.
Nous ne nous tairons pas!
Le 27 novembre 2018, à la cour municipale de Québec, ont comparu six personnes qui ont été arrêté.e.s en marge des manifestations contre le G7.
Ces personnes exerçaient pacifiquement leur droit à la libre expression et à la réunion pacifique, droits garantis par les Chartes canadienne et québécoise des droits et libertés. Les personnes arrêtées ont été détenues pendant quatre jours après avoir été arrêtées par les policiers du SPVQ et/ou de la SQ, selon le cas.